Comment financer ma voiture ? C’est une question que beaucoup se posent – et la réponse dépend fortement de chaque situation personnelle. Le TCS a analysé différentes options de financement à travers une enquête menée auprès de 1'154 membres. Deux spécialistes indépendants – un expert en financement et une conseillère en désendettement – ont également partagé leur point de vue. Il en ressort un tableau nuancé.
Nos recommandations : choisissez la forme de financement qui correspond à votre situation financière, à vos habitudes de mobilité et à votre étape de votre vie. Vous trouverez ci-dessous des recommandations concrètes pour vous guider.
Achat au comptant (voiture neuve ou d'occasion)
... ou leasing
Financement à crédit ou leasing (avec discernement)
Acheter une voiture d'occasion bon marché - ou au moins ne pas avoir de voiture du tout pendant un certain temps.
Abonnement auto ou solution de location
Il n'y a pas de solution parfaite pour tout le monde - mais il existe une solution adaptée à vos besoins. Le TCS recommande, avant de conclure un contrat :
En cas d’incertitude, il est toujours utile de demander conseil à un service indépendant – par exemple auprès d’un centre de conseil en budget ou en désendettement. Mieux vaut s'informer avant que de payer après.
Astuce : grâce au moteur de recherche de voitures du TCS, vous pouvez calculer et comparer les coûts annuels d’un véhicule neuf.Pensez à indiquer votre lieu de résidence, car les impôts sur les véhicules et le prix de l’électricité peuvent varier selon les cantons. Vers la recherche de voitures TCS.
Un contrat de leasing n’est pas un contrat de vente. Il prévoit que le véhicule soit restitué à la fin de la période de leasing, sans droit automatique d’achat pour le preneur de leasing. Certes, les vendeurs promettent parfois oralement que l’acheteur pourra acquérir le véhicule à des conditions avantageuses à l’échéance. Ces promesses peuvent être tenues, mais comme elles ne sont pas écrites, elles ne sont pas juridiquement contraignantes. Il arrive donc que le fournisseur « oublie » cet accord verbal, surtout si la voiture affiche un kilométrage élevé ou une faible valeur résiduelle — dans ce cas, il peut en tirer un bénéfice important en la revendant autrement.